Archives mensuelles : septembre 2016

Sensibilisation au Handicap d’une manière originale et vivante : Spectacle-Débat

Une action complémentaire originale à intégrer dans une démarche de sensibilisation des salariés à la problématique du Handicap dans l’entreprise.

Objectifs
*Déconstruire les stéréotypes sur le handicap.
*Favoriser les échanges, partager expérience et bonnes pratiques
*Inciter les collaborateurs en situation de handicap à faire une demande de RQTH
*Aider les managers à adopter les comportements adéquats

Moyens

*Alternance de saynètes humoristiques , de débats avec les participants et d’apports formatifs.
*Focus sur les freins et les atouts relatifs à l’embauche d’une personne en situation de handicap
*Zoom sur le comportement à adopter face à un collègue en situation de handicap, et pour annoncer son arrivée à l’équipe

Format:
Durée : de 1h à 3h, selon le nombre de saynètes et le type d’animation
Intervenants : 3 comédiens + 1 animateur-formateur

La prestation est déductible de la contribution AGEFIPH

Pour visionner la vidéo de présentation :http://www.theatre-d-entreprise.fr/

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Usure professionnelle: appel à projet Fact de l’Anact

En juin dernier, l’Anact a lancé un appel à projet Fact sur la « Prévention de l’usure professionnelle » les candidatures pouvant être déposées jusqu’au 10 octobre 2016, en vue d’un examen des projets lors de la commission d’attribution des aides fixé en semaine 45.

Pour rappel, la problématique de l’usure professionnelle (physiologique, psychologique, cognitive) est liée à l’exposition prolongée à des facteurs de risques ou des conditions de travail pénibles ou encore à un déficit de perspectives d’évolution professionnelle.

Elle représente un défi économique et social important dans un contexte de vieillissement de la population active :

*l’allongement de la vie professionnelle pose la question du vieillissement de la population au travail avec une augmentation significative du taux d’activité des salariés de 55 à 64 ans.

*l’efficacité croissante des traitements médicaux et le vieillissement des travailleurs dû à l’allongement des carrières engendrent une croissance du nombre de travailleurs atteints de maladies chroniques évolutives.

*les restrictions d’aptitudes et des déclarations d’inaptitude augmentent de manière importante.

Pour en savoir plus sur le dispositif Fact, les modalités d’inscription et le bénéfice de l’aide : http://www.anact.fr/appel-projet-ndeg2-fact-prevention-de-lusure-professionnelle

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Conférence Dialogues 13 09 16 « Un nouveau contrat social pour Generali France »

Présentation par Michel Estimbre, Drh et les délégués syndicaux centraux des 3 organisations syndicales signataires : Unsa, Cfdt, Cfe-Cgc. : débat autour de la pratique de la négociation, de la construction de l’accord et du dépassement des difficultés.
6 accords redéfinissent le contrat social de l’entreprise sur la base de 2 principes essentiels ; confiance et responsabilité.
*Enjeux et Contexte
Point de départ de la réflexion : Le statut social de l’entreprise est-il adapté à sa stratégie compte tenu de l’impact d’internet sur le secteur de l’assurance. Cette nouvelle donne s’intègre dans des enjeux de nature différente : économique, relation-client, technologie, culture d’entreprise. D’où la prise de conscience d’un besoin impératif de s’adapter au nouveau contexte et de transformer durablement la culture d’entreprise : libérer l’initiative, définir de nouvelles conditions d’organisation du travail pour développer des contacts directs avec le client.
Objectifs poursuivis : mieux servir les clients/améliorer la relation client, développer l’engagement des salariés en développant autonomie et responsabilisation des équipes, liberté de décision et marge de manœuvre pour les managers.
Contexte de la négociation : Rapidité -3 réunions de négociation ; Réflexion en amont –diagnostic partagé et cadrage préalable des attentes et perspectives ; contexte de relations sociales apaisées mais risque électoral au regard d’élections professionnelles très proches.
Moyens retenus : prise de décision en équipe sur les horaires de travail ; renforcement des dispositifs de reconnaissance ; développement du télétravail ; possibilité de s’installer en province ; personnalisation de l’environnement de travail.
*4 Champs de négociation importants
1-Durée et organisation du travail :
-flexibilité des horaires de travail pour répondre aux besoins de l’entreprise et aux attentes des salariés : suppression des plages fixes et mobiles au bénéfice d’une définition/validation des horaires par l’équipe au regard des besoins clients à partir d’un consensus d’au moins 70% des collaborateurs.
-flexibilité des aménagements des lieux de travail : définition par l’équipe de l’aménagement de l’environnement de travail en concertation avec le manager ; développement du travail à distance (télétravail, télé-centre) et possibilité de rejoindre un site en province
2-Qualité de vie au travail et meilleure conciliation vie professionnelle/vie personnelle
-actions sur environnement de travail : confort acoustique, ergonomie des mobiliers, services de cafétéria, espaces de co-working et lieux de détente…
-extension des services de prévention : renfort de la pluridisciplinarité des services de santé au travail ; nouvelles prestations : vaccination, prévention tabac, accompagnement nutrition, pratique du sportifs…
3-Reconnaissance de la performance individuelle et collective
-développement de la rémunération variable : revalorisation du montant, possibilité de superformance
-au niveau collectif : intégration d’objectifs individuels dans la prime d’équipe ; création d’un budget d’animation d’équipe;
4- Révision des dispositifs de forfaits jours et heures : -ajustement correspondant à une réduction de 5 jours de RTT en contrepartie d’une revalorisation de la rémunération variable, l’accès au télétravail et diverses actions qualitatives.
* Point de vue des organisations signataires
-UNSA : parti pris de participer à la construction d’un nouvel accord après une phase de diagnostic partagé ; -des compensations importantes obtenues en contrepartie de l’allongement de temps de travail : augmentation part variable, flexibilité des horaires notamment ; satisfaction au vu des résultats obtenus aux élections ayant suivi la conclusion de l’accord.
-CFDT : nécessité de prendre en compte les aspirations différentes des salariés : ceux qui ont besoins de challenges stimulants dans une approche de reconnaissance à court terme et ceux qui recherchent la stabilité ; volonté de participer à un processus de changement progressif pour faire émerger une culture d’innovation en parallèle d’une culture de sécurité.
-CFE-CGC : faire comprendre les nouveaux équilibres économiques, technologiques pour amorcer le changement nécessaire ; objectif d’obtenir des compensations importantes pour conclure un accord équilibré et innovant : télétravail, organisation des horaires, choix de l’environnement de travail, possibilité d’aller travailler en région …

*Premier bilan de l’accord
-200 équipes engagées dans la nouvelle organisation des horaires : 95% ont obtenu le consensus requis
-aménagement des espaces de travail : 300 personnes ont utilisé possibilités offertes
-télétravail : 400 personnes concernées après 8 mois d’application
-télé-centre en Ile de France: 2 tests en cours (Cergy, Noisy le Grand)
-possibilité de travailler en région : action en cours de mise en place pour un prochain lancement opérationnel
-absentéisme : en diminution de 0,5 point sur la période
-relation client : 1h20 supplémentaire par jour de disponibilité pour les clients-
-coopération : plus de dialogue entre les équipes et les services
En synthèse : une vraie dynamique est en cours même si quelques réticences demeurent.

Pour en savoir plus :

http://www.actuel-rh.fr/content/ce-nest-pas-le-role-du-drh-de-fxer-les-horaires-de-travail

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Salaires des Cadres et Mobilité: Etude APEC 15 09 16

Points clés de l’étude Evolution de la rémunération des cadres publiée le 15 septembre 2016

Dans un contexte économique fluctuant, les niveaux de rémunération des cadres sont demeurés stables en 2015; la part des cadres ayant obtenu une augmentation a peu évolué et reste liée aux changements professionnels. 

Bilan 2015

*niveaux de rémunération des cadres en 2015 

  • 48 000 euros, c’est la rémunération annuelle brute médiane (salaire fixe + part variable) des cadres en poste dans le secteur privé.
  • 80 % des salaires des cadres sont compris dans une fourchette allant de 34 000 à 83 000 euros
  • Les niveaux de rémunération sont fortement corrélés à l’âge des cadres et à la taille de leur entreprise

*évolution de la rémunération des cadres en 2015 

Si l’évolution de la rémunération des cadres est également liée à leur âge et à la taille de leur entreprise, elle est aussi influencée par les changements professionnels:  51% des cadres ayant évolué en interne ont obtenu, une revalorisation salariale en 2015. Le caractère volontaire ou imposé de la mobilité a une influence : 58 % des cadres ont été augmentés lors d’une mobilité interne volontaire pour 36 % dans le cas d’une mobilité imposée .

Pour les cadres ayant changé d’entreprise,  les circonstances du changement sont déterminantes: 34 % des cadres confrontés à une période de chômage lors de leur mobilité externe ont vu leur rémunération progresser, pour 64 % des cadres passés directement d’une entreprise à une autre.

Seulement 40 % des cadres n’ayant connu aucun changement professionnel en 2015 ont obtenu une revalorisation salariale.

Perspectives 2016

45 % des cadres envisagent de demander une augmentation en 2016.

Pour les perspectives d’évolution de rémunération à moyen terme,  la prudence  est de mise : 29 % jugent leurs perspectives salariales intéressantes, à l’horizon 3 – 5 ans.

A retenir:  la mobilité professionnelle est un facteur déterminant de l’évolution de la rémunération des cadres.

Pour en savoir plus: https://cadres.apec.fr/Emploi/Observatoire-de-l-emploi/Les-etudes-Apec-par-thematique/Remuneration/Points-cles-de-letude-Evolution-de-la-remuneration-des-cadres—edition-2016

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Consultation du Comité d’entreprise: de nouvelles pratiques à mettre en oeuvre.

Depuis la loi Rebsamen de 2015, de nouvelles dispositions régissent la pratique de la consultation du Comité d’entreprise avec des évolutions importantes tant sur la forme que sur le fond .

On retiendra 2 points majeurs: plus de liberté mais plus d’exigences…

L’essentiel de ce qu’il faut savoir avec la vidéo issue du partenariat avec Laera tv.

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Chômage  » bonne pente pour la courbe »

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et si c’était enfin vrai cette histoire d’inversion de courbe !

http://www.rhinfo.com/thematiques/recrutement/emploi/la-courbe-est-sur-la-bonne-pente

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Evaluation professionnelle: conditions de validité des critères d’appréciation.

Un dispositif d’évaluation professionnelle applicable à la population cadre reposant sur différents critères et  notamment sur l’évaluation de compétences telles que

– coopération proactive

– initiative

– orientation résultat

a été reconnu licite par la Cour d’appel d’Amiens dans un arrêt rendu le 15 juillet 2016.

La cour a motivé sa décision en relevant que chaque compétence évaluée était précisément définie et illustrée d’exemples dans le guide d’évaluation mis à disposition des cadres procédant à l’évaluation.

Pour en savoir plus : CA Amiens 15-7-2016 n° 14/01627

 

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Forfaits-jours et droit à la déconnexion après la loi Travail

La loi  Travail a revisité les règles applicables aux conventions de forfait (articles L. 3121-53 et suivants du code du travail) et du droit à la déconnexion.

L’objectif est de garantir le droit au repos et à la santé des salariés et de sécuriser les entreprises, qui pourront régulariser des situations fragiles non conformes en évitant  d’encourir des condamnations pour rappel d’heures supplémentaires et travail dissimulé;

Se fondant sur les principes jurisprudentiels les plus récents , les nouvelles dispositions imposent à l’employeur de s’assurer« régulièrement que la charge de travail du salarié » au forfait en jours est « raisonnable et permet une bonne répartition dans le temps de son travail » (article L. 3121-60 du code du travail).

L’accord collectif instaurant la possibilité de conclure des forfaits en jours doit désormais déterminer les modalités selon lesquelles:

 l’employeur assure l’évaluation et le suivi régulier de la charge de travail 

 l’employeur et le salarié communiquent périodiquement sur la charge de travail du salarié, sur l’articulation entre son activité professionnelle et sa vie personnelle, sur sa rémunération et  sur l’organisation du travail dans l’entreprise » (article L. 3121-64 du code du travail)

En l’absence d’accord collectif ou d’accord collectif incomplet, il est maintenant possible de conclure des conventions individuelles de forfait en jours;  dans ce cas l’employeur doit:

– établir un document de contrôle  pour faire apparaître le nombre et la date des jours travaillés,

– s’assurer que  la charge de travail du salarié est compatible avec le respect des temps de repos quotidiens et hebdomadaires

– organiser un entretien annuel avec le salarié pour évoquer  sa charge de travail, qui doit être raisonnable, l’organisation de son travail, l’articulation entre son activité professionnelle et sa vie personnelle ainsi que sa rémunération  (article L. 3121-65 du code du travail).

Par ailleurs , la  loi  Travail  généralise le dispositif issu de l’accord SYNTEC avec  l’obligation de déconnexion, imposant:

-aux salariés de cesser de travailler à l’aide d’outils de communication à distance

-à l’employeur de cesser de  solliciter les salariés, pendant un certain temps, pour assurer des repos quotidiens et hebdomadaires effectifs.

A retenir : à partir du 01 01 2017, les entreprises disposant d’une ou plusieurs sections syndicales devront élargir la négociation annuelle obligatoire aux modalités d’exercice par le salarié de son droit à la déconnexion. En l’absence  d’accord, l’employeur doit élaborer une charte, après consultation  des instances représentatives du personnel:

-définissant les modalités d’exercice du droit à la déconnexion,

– prévoyant la mise en œuvre d’actions de formation et de sensibilisation à un usage raisonnable des outils numériques  (article L. 2242-8, 7°).

Attention : le droit à la déconnexion s’applique à l’ensemble des salariés, soumis ou non à un forfait-jours.

https://www.legifrance.gouv.fr/affichLoiPubliee.do?idDocument=JORFDOLE000032291025&type=general&legislature=14

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Colloque ANACT Qualité de vie au Travail 13 06 16 « Mieux travailler à l’ère du numérique »  

 Quelques points principaux débattus lors du colloque ANACT organisé dans le cadre de la semaine de la Qualité de Vie au Travail

*Le numérique, c’est quoi ? Point de vue sociologue

Le numérique assure 4 fonctionnalités : traçage, stockage, calcul, mise en réseau .

Les conséquences sur le travail passe à travers :

-l’automatisation du travail manuel

-l’automatisation de la relation via l’automatisation des services

-l’automatisation du management avec un encadrement du travail : ERP, logiciel rh…

-l’automatisation de la mise en relations sur les marchés via la relation directe entre demandeurs et offreurs et l’économie de plateformes.

Par ailleurs le développement du numérique a provoqué des évolutions de nature différent :

-structurelles avec le développement de services de relation clientèle et d’une population intermédiaire et de cadres

-temporelles accélérant le rythme de travail avec des réorganisations de plus en plus fréquentes

-spatiales avec le développement du télétravail ou autres formes de travail à distance.

-sociétales avec la prédominance de l’immédiateté communicationnelle.

*Les impacts du numérique sur le travail

*l’univers du numérique n’est pas unique ; il doit être appréhendé au moins sous 2 volets :

-l’automatisation des processus, de la gestion des données et de la production avec es impacts sur l’organisation et l’optimisation de la productivité.

-la collaboration entre les acteurs de l’entreprise avec des impacts sur l’exercice du pouvoir, le partage des informations et des savoirs, l’innovation.

Tout ceci ayant bien entendu un impact sur le travail lui-même.

*le numérique n’est pas un phénomène autonome : il peut tout aussi bien renforcer n’importe quelle organisation de la plus centralisée à la plus « libérée ». Il en est de même quant au mode de management. Le numérique doit être vu comme un catalyseur des transformations.

*la problématique de la déconnexion fait apparaitre de nombreuses expériences individuelles très différentes. Selon les contextes, divers degrés d’inégalités peuvent être constatés :

-inégalité d’accès au numérique

-inégalité d’utilisation du numérique

-inégalité du degré de liberté dans l’utilisation

*la perception des impacts numériques révèle une tendance paradoxale avec :

-pour certains, une utilisation créative et libératrice dans une perspective dynamique avec une approche positive : numérique « marqueur de savoir » et « marqueur social ».

-pour d’autres, une utilisation par application de processus rigides ou par des outils de reporting dans une perspective contraignante avec une approche négative : surveillance, contrôle et perte d’autonomie.

*un phénomène dont les effets ne sont pas encore pleinement identifiés avec de grandes questions à traiter  autour de :

-la place du travail humain

-l’évolution vers de nouvelles organisations, notamment pour les entreprises qui se développent autour d’une seule activité ou un seul projet.

Il faut donc, face à des transformations massives, vivre avec une incertitude considérable et revisiter d’ores et déjà les catégories habituelles de raisonnement et de fonctionnement.

*les évolutions liées au développement du numérique imposent d’outiller les individus en informations et en moyens de décision pour qu’ils ne subissent pas le phénomène et soient en capacité d’agir.

* Le Rôle de l’ANACT face au numérique

*Poursuivre 3 actions essentielles

Favoriser la collaboration par les contacts et l’accès aux réseaux en prenant en compte les risques d’isolement des individus et de fracture numérique.

Développer de nouveaux modèles de management par la promotion de fonctionnements transversaux et une évolution vers des rôles de facilitateur, apporteur d’expertise et de créateur de confiance au sein des équipes. Ce qui suppose d’outiller les managers pour qu’ils maitrisent les outils d’accompagnement (délégation, reconnaissance..) des salariés et qu’ils puissent prendre en compte les revendications des plus jeunes.

Faire évoluer les organisations avec les équipes pour éviter le cloisonnement et maintenir la solidarité et le lien social entre les collaborateurs.

*Prendre en compte 3 risques majeurs

Risque de pénétration de vie professionnelle dans la vie privée ; en ce sens, il s’agit plutôt de mettre en avant la liberté de connexion plus que le droit à la déconnexion. Ce qui nécessite d’appliquer la règle et de la faire approprier via des actions de communication, de sensibilisation et de formation.

Impact de la culture de l’immédiateté et de l’urgence avec des risques d’intensification du travail, de surcharge cognitive et de sur-engagement.

Perception du travail mal fait car non approfondi en raison de l’immédiateté, « travail empêché »selon Yves Clot. D’où la nécessité de remettre les choses en perspective.

*Renforcer le dialogue social autour du numérique avec l’implication des organisations syndicales et la mise en place de groupes de travail ou d’espaces de discussion pour s’assurer que les moyens sont mis en œuvre pour développer des relations de travail respectueuses et prévenir les risques de santé au travail.

En ce sens le réseau ANACT/ARACT est mobilisé pour faire du numérique un levier de performance tant économique que social

Pour en savoir plus :http://www.anact.fr/retour-sur-le-colloque-douverture-de-la-semaine-pour-la-qualite-de-vie-au-travail-2016

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Fait religieux en entreprise, comment éviter la fracture? Entretiens de la Cohésion Sociale du 12 09 16

Le débat mené dans le cadre des  5èmes Entretiens de la Cohésion sociale s’est articulé autour de  5 idées clés:

1-Il est dangereux de croire que la loi résoudra tous les problèmes de gestion liés au fait religieux : il appartient à l’entreprise prendre des initiatives en la matière.
2. Aujourd’hui, dans une entreprise privée, l’appréciation juridique du fait religieux ne repose que sur le critère objectif de la perturbation de l’activité commerciale.
3. Les incidents liés à la gestion du fait religieux en entreprise relèvent de revendications identitaires plus que religieuses.
4. Il n’est pas acceptable que la pratique religieuse entrave le bon fonctionnement de l’entreprise.
5. L’entreprise a une mission sociale qui dépasse sa seule fonction commerciale : elle doit œuvrer à la cohésion sociale du pays.

 

Pour en savoir plus :http://www.actuel-rh.fr/content/une-entreprise-nest-pas-laique-elle-est-avant-tout-commerciale

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