Au sein d’une organisation, s’il y a une défiance envers le management, il est plus difficile que les collaborateurs puissent travailler sereinement et développer le sentiment d’engagement et d’appartenance: la confiance devient un levier déterminant.
En France, la capacité des managers à faire confiance à leur équipe est considérée comme étant la dimension la plus importante pour 75 % des salariés interrogés dans une étude récente du Groupe Adecco sur leurs attentes en matière de modalités de travail post-pandémie; l’empathie arrive en second suivie de l’agilité dans l’organisation du travail.
La confiance s’opère sous la responsabilité du manager en étant au plus proche des équipes et à leur écoute pour les faire évoluer dans le même sens mais ce n’est pas suffisant… Selon THibault Perrin du cabinet Great place to work France, compétent, intègre et bienveillant sont les caractéristiques d’un management de confiance autour de plusieurs fondamentaux : être sincère dans la relation, faire preuve de transparence, être toujours dans le relationnel.
La confiance repose en grande partie sur la circulation des savoirs et la communication à tous les niveaux, tant individuel que collectif.
Rétablir la confiance demande d’investir ce champ managérial ; les effets sont bénéfiques notamment quand l’entreprise rencontre des difficultés. Les collaborateurs pourront redoubler d’efforts et d’inventivité, faire plus en quantité et en qualité avec capacité à sortir de leur rôle prescrit et engagement accru , résultat direct de la confiance ressentie au sein de l’organisation.
Ainsi la notion de confiance reste un marqueur essentiel d’une entreprise où il fait bon travailler.
Pour en savoir plus : https://www.rhinfo.adp.com/rhinfo/2021/la-confiance-cle-de-la-cohesion-et-de-lengagement-des-equipes/