Archives de Tag: Ressources humaines

Etude APEC : métiers cadres porteurs pour 2022

L’APEC propose une  analyse approfondie des offres d’emploi par métiers à partir d’une nomenclature des métiers cadres particulièrement détaillée  en 10 grandes fonctions, 111 familles de métiers et 444 métiers. 

L’étude porte sur l’analyse de l’ensemble des 522 000 offres publiées par l’Apec en 2021, classées par familles de métiers et distinguant :
 

*Des familles de métiers porteurs par le volume d’offres concernées (les « Poids lourds »)

  • 16 famille de métiers totalisent chacune plus de 8 000 offres d’emploi publiées en 2021.
  • Ces 16 familles représentent 44 % de l’ensemble des offres publiées. 
  • Les métiers du développement informatique, de la comptabilité et de la gestion de projets informatiques concentrent le plus d’offres.
     

*Des familles de métiers porteurs par la progression des volumes d’offres (les « Formule 1 »)

  • 17 familles de métiers (regroupant au moins 2000 offres) ont vu leur volume d’offres d’emploi publiées progresser d’au moins 10 % entre 2019 et 2021.
  • Ces 17 familles représentent au total une progression de +22 000 offres entre 2019 et 2021. 
  • Les métiers de la médecine, de l’encadrement médico-social et de la gestion immobilière sont particulièrement concernés par ces progressions. 

A retenir les familles de métiers cadres porteurs en 2022

* Informatique et études R&D

*Commercial et marketing

*Ressources humaines

*Gestion, finance et administration

*Travaux, chantiers, qualité et maintenance industrielle

* Santé, social et médico-social

Pour en savoir plus file:///D:/TELECHARGEMENTS/les-metiers-cadres-porteurs-pour-2022.pdf

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Ressources humaines et méthodes de recrutement: Témoignage Vidéo d’un DRH …

Les nouvelles méthodes de recrutement sont-elles adaptées aux ressources humaines ?  Témoignage de Claude Monnier, DRH Sony Music France, proposé par les Editions Francis Lefevbre

La pratique du traditionnel CV et de la lettre de motivation appartiendrait-elle au passé pour faire place à des nouvelles techniques de recrutement: intelligence artificielle, chatbot, escape game… ? Ces nouveaux outils sont-ils adaptées aux ressources humaines et permettent-ils de répondre aux besoins des entreprises?

Dans une vidéo (3.58 minutes), Claude Monnier, DRH Sony Music France, invite à la vigilance quant à l’usage de nouvelles méthodes de recrutement et propose d’autres voies.

Dans un contexte de mutations technologiques impactant l’industrie musicale et d’émergence de nouveaux métiers, le DRH de Sony Music fait part de son expérience en proposant « la voie du milieu » avec notamment le recours au reverse mentoring et la remise en cause des codes du recrutement traditionnel.

Cette position prend en compte la nécessité

*d’une part, de faire évoluer la position de la fonction rh dans le processus et les pratiques de recrutement face à une résistance vis à vis de nouvelles méthodes

* d’autre part, d’une prise de conscience des limites des nouveaux outils proposés. Le recrutement est avant tout une rencontre humaine …

Pour en savoir plus : Accéder à la vidéo

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« 1916/2016: Les Leçons de Verdun : Comment éviter un nouveau sacrifice des ressources humaines ? » Colloque ANDRH, 7 janvier 2016, Ecole Militaire Paris

Un colloque original sur le thème des ressources humaines : une occasion de revisiter quelques fondamentaux des relations dans l’entreprise notamment à partir de : vision partagée, confiance, management, cohésion, diversité, développement personnel, rôle du collectif….tous les sujets qui nourrissent aujourd’hui  les débats autour du travail…

En 1916, la bataille de Verdun est ressentie comme une victoire parce que les Français ont été capables, en mobilisant de nombreux moyens, de repousser l’offensive allemande.
En 2016, dans un contexte de chômage élevé et de plans sociaux, les DRH gèrent les conséquences d’une crise économique, sociale et culturelle.
L’analyse de la grande guerre renvoie à 3 problématiques actuelles :
-la gestion des relations managériales et le rapport à l’autorité
-le maintien de la cohésion sociale et le rapport à la diversité
-l’accompagnement de ceux restent via leur motivation

1- Relations managériales et Légitimité des rôles et des statuts

*Brassage, Hiérarchie et compétences

– Thierry Vissol, Conseiller Commission Europe : Au départ, les troupes d’active sont impliquées avec des pertes considérables entrainant un besoin de renouvellement, la montée en grade de sous – officiers et le recours à la réserve pas spécialement formée. D’où un grave problème de compétences.
La camaraderie a joué un rôle essentiel souvent plus que le patriotisme.
Le mélange entre les capacités de l’armée active et les compétences des agents de réserve a créé un conflit entre hiérarchie et compétences.
– Emmanuel de Richoufftz, Général d’infanterie : Aujourd’hui le brassage des armées est très différent : il existe toujours mais au sein d’une armée de métier avec beaucoup de compétences. On se bat à la fois pour ses camarades mais aussi pour son chef qui a un rôle essentiel de relation humaine dans le rapport d’autorité.
– Jean Luc Vergne, ancien DRH et Président de l’Anact : Co existe dans l’entreprise la hiérarchie des statuts et celle des compétences, notamment à travers le mode projet qui regroupe les meilleures expertises pour réaliser le projet en marge de la ligne hiérarchique.
La génération Y reconnait la hiérarchie à travers les compétences et non au regard du positionnement. Si l’expertise n’est pas reconnue, la légitimité est remise en question.
– Florence Méaux, Secrétariat général du gouvernement, gestion des cadres supérieurs de l’Etat : La structure pyramidale est encore très à l’oeuvre ; les directeurs de l’Administration centrale sont assez souvent démunis face à l’animation des collaborateurs. Les pratiques ne correspondent pas aux attentes d’être écouté et attendu et à la manière de mettre en oeuvre ses compétences. Les dirigeants ne sont pas aguerris à mettre en mouvement des collectifs à fortes compétences.

*Confiance

– Jean-Pierre Gueno : La question de la confiance est essentielle : beaucoup d’entreprises sont encore à système de défiance.
– Emmanuel de Richoufftz, Général d’infanterie : Sans confiance on ne peut pas commander. La confiance se donne à partir d’éléments concrets : compétences, humanité, reconnaissance pour créer de la cohésion qui donne un levier puissant pour réussir sa mission de commandement. Cela passe par des choses simples : parler, recueillir des idées, les accepter, les mettre en oeuvre…
–  Jean Luc Vergne, ancien DRH et Président de l’Anact : La crise de confiance est aujourd’hui générale envers les élites, les politiques, les chefs d’entreprise, les syndicats…
La confiance se gagne par la proximité, en ayant le courage de dire la vérité et en proposant des solutions aux situations difficiles. C’est aussi beaucoup de coeur et de convivialité.
– Thierry Vissol, Conseiller Commission Europe : La crise actuelle est génératrice de méfiance car les salariés sont souvent considérés comme variable d’ajustement sans préoccupation des conséquences des décisions prises. La hiérarchie intermédiaire n’a plus la confiance structurelle même si elle peut conserver la légitimité personnelle.
– Florence Méaux, Secrétariat général du gouvernement, gestion des cadres supérieurs de l’Etat : Il n’y a pas défiance des hauts fonctionnaires à l’égard des politiques Le manque de confiance se situe au niveau des collaborateurs vis-à-vis de ceux qui le de transparence, de proximité, et favorisent le développement de l’intelligence collective.

*Web et Digital

– Jean-Pierre Gueno : Le digital favorise la remise en question des hiérarchies traditionnelles.
–  Jean Luc Vergne, ancien DRH et Président de l’Anact : Le digital n’est pas qu’une technique mais avant tout une révolution culturelle avec des impacts sur les relations sociales et l’organisation du travail. Le défi du manager est de faire émerger l’intelligence collective, les capacités créatives en associant les différentes générations au mouvement.

*Place de l’humain

– Emmanuel de Richoufftz, Général d’infanterie : Les responsables de commandement sont très sensibles aux risques de perte d’hommes : la confiance est le moteur essentiel dans l’armée. La méthode travail horizontale favorise la coopération transverse et le traitement des problèmes avec retour d’expérience. Il s’agit de donner du sens à l’action et à la vie.
– Jean Luc Vergne, ancien DRH et Président de l’Anact : La première qualité d’un DRH est d’aimer les gens. Son rôle est de donner du sens, le goût et la valorisation du travail, de la reconnaissance.
– Florence Méaux, Secrétariat général du gouvernement, gestion des cadres supérieurs de l’Etat : Le dirigeant ou le DRH doit être un amortisseur pour transformer la pression en énergie, l’irrationnel en rationnel. Ce doit être un passeur pour rendre possible la vie au travail.

2-Cohésion sociale et Diversité

*Diversité

– Rémy Porte, historien : La diversité dans la guerre de 14 est réelle : mixité d’origine, de région, d’âge et de milieu social mais également relative car dès que l’urgence est passée, les cercles sociaux et familiaux se reforment.
– Carole Da Silva, AFIP pour l’intégration professionnelle : Si les entreprises sont agi pour la diversité, elles n’ont eu le soutien des politiques publiques. Aujourd’hui, la tendance est à l’essoufflement.
– Père Christian Venard, Aumonierr militaire : Les jeunes viennent dans l’armé pour chercher un emploi mais aussi un cadre non trouvé ailleurs. L’armée a la capacité de proposer aux jeunes une réponse à la question du sens de la vie et de créer un binôme avec son camarade de combat. Le monde civil pourrait capitaliser sur les expériences de l’armée qui a une expertise humaine réelle.

*Cohésion sociale

– Patrice Corre, Proviseur Lycée Henri IV : L’éducation nationale, institution qui devait créer de la cohésion ne l’a pas fait ou partiellement. Ce n’est pas tant la diversité qui pose problème mais les inégalités. Le projet commun de société devrait s’attacher à la réduction des inégalités et faire place à l’expérience.
Créer de la cohésion c’est : -assurer une meilleure égalité des chances dans les écoles ; -se rencontrer à l’école entre différentes origines (carte scolaire) ; -faire un effort collectif pour donner des chances d’insertion sociale ; une synergie est nécessaire entre écoles, associations, entreprises…
– Aline Crépin, Directrice RSE Randstadt, Commission Egalité des chances ANDRH : Le management n’est pas toujours conscient que la cohésion sociale a besoin de long terme, de la confiance des dirigeants et nécessite de la constance pour que l’organisation change.
Les périodes de crise peuvent provoquer le sursaut pour redonner du sens avec un nouveau cap et reconstruire un collectif. Les fonctions rh doivent être mobilisées car la cohésion sociale doit se faire par le dialogue social et la dimension collective.

3- « Ceux qui restent »

– Rémy Porte, historien : Un enseignement à retirer de la grande guerre en ce qui concerne la formation : plus la formation est importante en amont, plis le temps d’adaptation nécessaire à la crise se raccourcit. La formation doit également être poursuivie pendant la crise.
– Charlotte Duda, DRH Stream International : Il est nécessaire d’anticiper suffisamment pour que les salariés ne sortent pas amoindris des situations de crise ; les dimensions collective et individuelle doivent être traitées en parallèle ;
L’accompagnement est indispensable auprès des managers qui doivent communiquer avec les équipes sur ce qui se passe. Des cellules spécialisées peuvent apporter une aide psychologique y compris auprès des familles. Des cellules spécifiques peuvent prendre en charge la reconstruction d’un projet professionnel pour faciliter la reconversion. Enfin des cellules médicales peuvent intervenir en cas de nécessité.
Le manager reste la pièce maitresse du dispositif pour dire ce qui se passe, maintenir la production et donner des perspectives pour préparer demain.
– William Josse, Médecin expert, Conseilleur au Ministère de la santé : Les restructurations ou fermetures de site ont un impact direct sur la santé car très souvent la capacité humaine à s’adapter a été déficiente. Il faut anticiper, agir pendant et après pour assurer le rétablissement de la santé. Pour les salariés qui restent, il y a à la fois un sentiment de culpabilité (pourquoi pas moi ?) et un sentiment d’insécurité (suivant sur la liste ?) créant une perte de confiance, un déficit d’engagement la perte du sens de la mission et l’incompréhension de l’organisation du travail.
Il est important de mettre en place des indicateurs sur l’absentéisme, les accidents du travail, la mortalité et des indicateurs de santé physique et mentale.
Il faut identifier l’énergie pour la mettre en activité et répondre aux besoins physiologiques, de sécurité, d’appartenance et d’estime. Par ailleurs, des actions de sensibilisation à l’intégration dans un nouveau groupe sont utiles pour faire le deuil de l’ancien et l’accueil dans le nouveau. Il en enfin nécessaire de développer une culture du changement : communiquer, former, intégrer et une culture de soi au travail : se faire écouter, s’accepter, s’ouvrir aux autres…

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« Homo Numericus au travail »: Editions ECONOMICA janvier 2016, note de lecture

Livre Homo Numericus au travail

Pierre BERETTI, Président ALTEDIA LLH et Alain BLOCH, Professeur CNAM et Directeur Master Entrepreneur à HEC 

Publication conçue pour apporter sous un angle original une réflexion et des pistes de solutions aux entrepreneurs et salariés : que faire face à la révolution du travail avec le digital ? Un mixte de témoignages, interviews, photo-reportages et textes autour de propos scientifiques, d’une analyse prospective, d’une approche économique, d’une parole syndicale  et d’acteurs du monde de l’entreprise sous toutes ses formes.

Le salarié sera –t-il évincé par le robot, le travail intellectuel banalisé par l’intelligence artificielle ? le service ubérisé par les plateformes de partage ?…Ou bien entrons-nous dans une ère d’intelligence connectée avec des métiers inédits, de nouveaux types d’emplois et d’activités, des façons innovantes de crée de la valeur au sein d’écosystèmes différents ? L’enquête est menée en grand angle pour dégager des lignes de forces, découvrir des raisons d’espérer et surtout se préparer à l’action

Avec une préface de Pascal PICQ, paléoanthropologue au Collège de France, sous forme de plaidoyer pour « la coévolution entrepreneuriale au travail «  dont on retiendra pour l’essentiel  :

*Tous les indices concordent pour confirmer «  l’entrée dans un nouvel âge stimulé par les réseaux, les intelligences connectées et les changements d’environnement ».

*Un élan créateur  est en marche avec la possibilité de créer son entreprise via internet et les réseaux, de nouvelles sources de financement grâce au crowdfunding, de nouveaux modèles économiques (circulaires, collaboratifs.. .) avec l’émergence de nouveaux entrepreneurs.

*Un véritable changement culturel qui doit être accompagné pour réaliser un projet alliant une ambition humaine, économique et sociale et capitaliser sur la force de l’innovation, l’audace de l’essai-erreur et la responsabilité sociétale et environnementale.

*Le travail se trouve bouleversé par ce mouvement tant dans son contenu que dans ses formes : il s’agit d’explorer les innovations de terrain, de s’appuyer sur la révolution digitale en donnant la priorité à l’humain.

 

En  complément, ci-après quelques citations des différents  intervenants en lien avec les thématiques ressources humaines, management et dialogue social

 Véronique WEIL, Directrice des opérations AXA

« La question n’est plus pourquoi la transformation digitale mais celle du comment, signe que l’entreprise est convaincue de la nécessité du changement »

« La question cruciale posée aux collaborateurs : avez- vous envie d’apprendre et d’appartenir à une entreprise qui réussit ? »

« Pour accompagner les collaborateurs, AXA a mis en place d’importants programmes de formation au travers de jeux, d’actions d’équipes et de reversmentoring car il faut continuer à apprendre en permanence »

« L’automatisation d’un certain nombre de tâches permet de consacrer plus de  temps et d’ énergie aue conseil et à l’accompagnement  du client »

« Le dialogue social doit se développer sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences, les programmes de formation pour apprendre, la dynamique intergénérationnelle »

« AXA s’intéresse aux nouveaux modes d’activité sous différentes formes ; investissement dans des start up, projets en Open Data, relations avec des indépendants.. »

Sylvie JOSEPH, Directrice Transformation interne Groupe La Poste

« L’ ambition est d’être générateur de liens physiques et/ou numériques ; tant qu’il y aura des humains, il y aura du lien à organiser.. »

« Comment est-on plus agile ? Quelle est ma valeur ? Comment la rendre intéressante pour le client ? C’est à ces questions que nous devons répondre  avec  un programme en 3 A : Agilité,  Attention, Audace… »

« Il ne faut plus raisonner en termes d’emplois, de strates et de grades, mais de travail à faire, de compétences à mettre en œuvre et de ressources à affecter au bon endroit »

« Dans la transformation numérique, c’est la culture qu’il faut changer. La technique, nous la maitrisons mais on doit sortir d’une culture de la rente du monopole, d’un client qui n’avait pas d’autre choix  et travailler sur la coopération entre les équipes et la synergie mais également sur les pratiques de ressources humaines et les modes de management »

« Les managers doivent devenir des animateurs de communautés ; il faut les accompagner pour les aider à changer de posture : coopération, co-construction et co-création… »

Emery JACQUILLAT , PDG Camif-Matelsom

« La Camif était une très belle marque, il a fallu en faire une entreprise agile et  créer une culture commune entre les employés de Matelsom à l’esprit start- up et ceux de la Camif de culture pyramidale »

« Le plus difficile est de casser les cloisons que les gens ont dans la tête ; l’accueil en résidence d’un artiste a permis d’ouvrir les esprits avec au quotidien des expériences décalées  »

« Plus on est dans la technologie, plus on doit être humain et développer des démarches participatives à tous les niveaux : prise en charge de jeunes en alternance, contribution à l’élaboration  de nouveaux de produits, relations avec les fournisseurs et les clients…»

Laurent Berger, Secrétaire Général CFDT :

« Il ne faut pas réserver le sujet du numérique à une certaine élite de l’entreprise. L’opportunité doit être valable pour tous »

« Pour réaliser le saut numérique, il est indispensable de prendre en compte le parcours des salariés, les conditions de d’exercice de leur travail, et de repenser leur rapport au temps »

« Les entreprises qui vont réussir sont celles qui vont mettre de façon anticipée ces sujets sur la table »

« On peut espérer des univers plus collaboratifs et moins hiérarchiques mais on peut aboutir à un système dangereux pour l’intimité des salariés ; c’est pourquoi les corps intermédiaires sont utiles car l’intérêt général n’est pas la somme des intérêts particuliers »

« Le dialogue social est directement impacté car le digital induit un écrasement de la hiérarchie. Le dialogue social est un lieu de confrontation pour faire converger des idées et trouver des compromis acceptables pour tous ; l’approche collaborative est nécessaire pour développer l’apport d’idées  et nourrir la négociation collective»

« Le numérique soulève de nombreuses questions autour des interactions/coopération, de la qualité de vie au travail et des régulations. »

« Il ne s’agit pas de la fin de salariat mais de l’apparition de nouvelles formes de travail où le syndicalisme doit trouver sa place ; il y a un fort besoin de régulation pour trouver l’équilibre entre économique et social »

« Nous sommes déjà en train de travailler sur une possibilité d’adhésion individuelle pour tous les indépendants qui veulent s’organiser »

 

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Colloque « Les leçons de Verdun: comment éviter un nouveau sacrifice des ressources humaines ? » Andrh, 07 01 16

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A l’occasion de la commémoration du centenaire de la Grande Guerre et de la bataille de Verdun, l’ANDRH organise   jeudi 7 janvier 2016 (8h30 à 18h) un colloque « Les leçons de Verdun : comment éviter un nouveau sacrifice des ressources humaines » autour de 4 tables rondes :

*L’évolution des relations hiérarchiques et managériales et de la légitimité des rôles et statuts en période de crise latente ou aigüe
*La gestion cruciale du maintien de la cohésion sociale au coeur des tourmentes et l’atout de la diversité 
*Et ceux qui restent ? La thématique du survivant ?
*Le lien entreprises et territoires.

Lieu: Ecole Militaire, 5 place Joffre, 75 007 Paris , Amphithéâtre Foch

La participation est gratuite;   s’inscrire  à partir du lien ci dessus, une pièce d’identité est demandée à l’entrée.

Pour plus détails et notamment l’argumentaire du colloque et les intervenants, voir le site de l’Andrh

http://www.andrh.fr/evenements/liste-des-evenements/les-lecons-de-verdun-1916-2016-comment-eviter-un-nouveau-sacrifice-des-ressources-humaines

 

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